Pour optimiser ce rendement, la température de retour du circuit de chauffage doit être la plus basse possible. Dans de nombreux logements, les radiateurs étant surdimensionnés, il est souvent possible de réduire la température de départ et donc celle du retour. Une condition idéale pour profiter pleinement de l’effet de condensation.
Enfin, l’eau issue de la condensation — légèrement acide — doit être correctement évacuée dans le réseau des eaux usées (et non dans les eaux pluviales, comme le rappelle le diagnostic d’assainissement).
La transition d’une chaudière ancienne vers un équipement à condensation s’impose aujourd’hui comme un passage obligé pour conjuguer confort, performance et sécurité.
Remplacer une chaudière ancienne par un appareil à condensation, c’est donc :
- Améliorer la performance globale de l’installation
- Réduire sa consommation de gaz et ses émissions de CO₂
- Anticiper les exigences réglementaires de la RE2020 et du futur seuil RE2025